Si il existe une chose bizarre, c’est d’avoir cette honte joyeuse d’être apprécié. Plus qu’apprécié, même, peut être. Un énervement parcour alors l’esprit, à savoir si les raisons de cet obnubilation dans les pensées d’autrui a et possède un bien fondé.
Finies les phrases compliquées, je m’explique.
Mettons un jeune homme, complexe et complexé. Un modèle parfait de rejet de soit. Votre serviteur ici tapant. Quelqu’un qui considère sa propre gentillesse comme un défaut majeur.
Ajoutons une jolie jeune femme. Fortement moins complexée. Qu’il a aimé. Suffisament longtemps pour penser la connaitre. Elle aussi, en complément. Pour le connaitre et ne plus l’aimer ainsi, du moins différement.
Laisser infuser le jeune homme dans ses doutes.
Prenez un Lapin. Ajoutez deux autres ingrédients.
Le premier frais et sucré.
Le second épicé et plein de profondeur.
La dose est inconnue. Les ingrédients aussi en fait. Ajouter doucement le premier, jusqu’à faire très légèrement frémir. Une fois le second découvert, mélangez le vite en forte dose, puis réservez doucement jusqu’à n’en garder qu’une trace. Ajoutez une pincée du premier, puis retirez le d’un coup.
Cette recette est plus compliquée qu’il n’y parait. Elle est principalement basée sur les dosage des différents bouquets et le moment où ils sont retirés du mélange.
Le résultat en est le ragout de lapin.
… et une sacrée dose d’énervement hier soir, suite à la déclaration de la première,
… et une bonne déprime en milieu de semaine suite à une autre forme de déclaration de la seconde.
… et une cuite de fooolie vendredi soir pendant les visionnages succéssif d’Appleseed puis FFVII.
Arf!!