Je me remets à trouver du trèfle à 4 feuilles.
Sans rire, c’est quelque chose que je classe juste après la dent évènementielle, dans la catégorie "Finalement il peut y avoir de l’Espoir".
La chasse au trèfle a un côté très intérieur. Ben oui, il faut d’abord en trouver.
Il est possible de regarder des heures des trèfles sans y trouver un seul qui possède la qualité recherchée.
Ou alors se chercher une faux ou une tondeuse à gazon, tout rafler, mais ne retrouver qu’une luzerne qui se déssechera bien vite.
Moi, mon regard se promène. Dans la vie de tout les jours, il y a bien un moment ou votre regard se perd sur de jolis parreterres verts, non?
Après, le tout est de se pencher quand on croit que quelques feuilles se chevauchent. Pas tout le temps, bien sûr! Parce que ça fait acharné du gazon, mais il faut quelque fois dépasser les regards curieux qui regardent un homme prendre un truc vert au milieu de nul part.
Et voilà, près d’un jardin d’enfant, entouré de gosses rieurs, j’ai osé un coup d’oeil.
Je n’y ai pas cru. Et je n’y crois toujours pas, en fait 🙂
Mais le voici, magnifique.
Et vrai.
Je l’ai recueilli. Dans un bon livre. L’Eveil des eaux dormantes. Le Tome 6 des Aventuriers de la Mer. (Attention spoil) Pas très loin du moment ou Parangon est remis à flots (j’avais prévenu).
Ce n’est que une feuille de plus que d’habitude. Ce n’est pas ce qui défini ce petit brin d’herbe comme un trèfle.
Mais voilà, pour moi, il a 4 feuilles.
Ca rend cette jolie plante un peu plus exceptionnelle et symbole de chance, non?
Mmmm… C’est sûr, c’est vachement plus exceptionnel que de tomber sur un nanard comme Donjons&Dragons II
=(:)
PS : Et voilà qu’en plus ma dent évènementielle a fait des siennes depuis mardi…