Archive pour mars 2006

28
Mar
06

La ballade du chargeur…

Allez hop, retour à un truc plus sobre.
 
Et passons au vif du sujet. Un chargeur téléphonique, c’est un objet né directement de l’Univers, au même titre q’un trombone : ça apparait de nul part, et surtout disparait aussi vite.
Moi, mon portable il est sympa. Noir et acier. Ca me rappelle une certaine déco.
Il est sympa, mais le chargeur qui va avec est assez rare à dégotter. Et donc, quand il est à 200 bornes de là, peu de gens ont le même. Pas cool en fin de semaine.
 
Ma Conscience rennaise a retrouvé ce petit morceau de plastique mâle sans aucun soucis. Dans ma déroute du WE dernier, il était resté sur place avec un semblable. Et moi, méchant, j’ai voulu le retrouver. Un petit voyage en Colissimo lui a donc été allègrement offert.
Pendant ce temps là, je me remets doucement de ma crève, je pense à peine au WE et je vivotte.
 
Et là, jeudi soir, truc à la con. En tout cas pas calculé. Je devais accueillir quelqu’un semaine dernière pour l’amener à son concours d’infirmière, et en plus apprécier de douces samoussa (échange équitable, non?). Et vu l’état du cadavre que j’étais… j’avais décommandé.
Et là, en pleine conversation sur Meuhseneuh, qui je vois débouler en plein cyber café? Bien deviné!
 
Vendredi reuteuteu. Donc possibilité de chercher mon chargeur au pied de chez moi. Sauf que :
 – j’ai pas de sonnette
 – mes voisins me connaissent peu (pas?)
 – la fente de ma Boite aux lettre n’est pas extensible (con ça!!)
Je croise un voisin au moment de sortir faire une partie de Jeu de rôles avec des inconnus (heu… oui, un évènement perturbateur, chez moi, ça perturbe bien). Il me dis "C’est con, vous avez loupé le facteur de peu!". Et là, deux choses :
 – un chargeur de téléphone c’est trop gros pour être transporté par un type à vélo (on en a coursé 3!).
 – une voiture c’est dur à courser à 10h du mat’.
Et… voilà mon chargeur de téléphone libre à partir de 17h vendredi apm à l’autre bout de la ville (par rapport à une partie de ADD se terminant vers 20h… suivez?). Cool!. Et enchainement vers une descente dans l’Orne pour le week end. Donc bye bye le chargeur…
 
Petit we peinard. Je m’organise doucement mon changement d’appart. J’oublie mes histoire de portable. Je crame quelques minutes sur mon professionnel. Repas thaï. Tout va bien.
 
Retour à deux sur Caen. Avec du poiré, et deux bouteilles de pommeau maison. Hé oui, ça signifie dégustation dès le soir même. Et là, le chargeur… génant son absence, mais bon l’envie de dodo l’emporte au bout d’un moment.
 
Et là, lundi, à la sortie du boulot, après 1/2h d’attente dans une salle surchauffée…
Ou plutôt quelques minutes plus tard au rallumage du portable :
 – La copine que je loge (3 sans message)
 – celui qui la logeait avant
 – la copine de Caen prévenue qu’il y a une nana sans logement et qui se renseigne.
 – le copain a qui le RdV du jeudi soir n’a pas été annulé par manque de moyen de communication (8 appels + 1 message!)
 – Ma môman (pas de nouvelles depuis 1 mois)
 – Ma soeurette (un WE à organiser)
 – Une copine de boisson (héhé…)
 – Une copine de délire par texto
 – Une Tichat toute esseulée (pardon)
Le portable a bippé pendant un bon quart d’heure! arf!
 
Ce soir, je me pose tranquilou en salle du cyber. Mails, etc. Pose thé chaud, quoi.
=(:)
PS : allez absolument sur le blog du Adj!! J’adore!
23
Mar
06

Oublis

J’ai oublié quelques trucs récement.
 
Tout d’abord j’ai oublié mon chargeur de portable. Handicapant. A 20h mes amis ne sont plus joignables pour organiser WE et soirées improvisées. A 23h, je ne suis pas plus joignable. Un peu génant tout de même.
Ensuite j’ai oublié mon porte feuille. Super pour faire travailler les muscles du cou. Ils en avaient pas trop besoin, encore ankylosés du WE.
Parlant de ça, j’ai oublié d’être en forme. Je dois avoir une allergie aux potes japonais, arf! Je plaisante!!
J’ai aussi oublié mon bon goût. Mes très proches savent qu’il est relatif, je sais, mais là… Je vous jure, je suis tendance sobre! Sauf musicalement… Et en fringues… Ouais, bon!
J’ai oublié mon sang froid. Pas longtemps, le temps d’un com’. Mais bon.
J’ai oublié de manger. Plusieurs fois cette semaine. En fait j’avais pas faim. Pas trop. Assez pour du Nutella.
J’ai oublié mes poubelles. Oui, encore.
J’ai oublié d’être con. Quand les gens veulent quelque chose et que c’est pas possible, il ne faut pas dire :"c’est pas possible" mais dire : "Ca tombe bien, on vient de le faire". Le placébo appliqué à une chaudière collective. Grande admiration envers mes collègues.
J’ai oublié de ranger. Ca se voit que j’ai pas été en forme pendant une petite semaine!!!
J’ai oublié de dormir. Vous en connaissez les conséquences.
J’ai oublié mon sexe. Je crois qu’il est masculin, et réagit mal à la parole. Pour le reste… Comme son maître, manque d’activité. Arf!!
J’ai oublié aimer. Ca c’est con. Maintenant je mets une échelle. Le premier barreau est comme un panneau, avec "amour en cours" dessus. Je ne sais plus être passionné de qq1. Ca c’est con, bis.
J’ai oublié de laver ma voiture. Ce qui est con, c’est que c’est pas récent! arf!
J’ai oublié comment finir cet article
 
 
 
20
Mar
06

Pour des Commentaires

J’ai vu ça ailleur, et c’est rigolo.
Ben là, c’est chez vous.
Vous que je connais, ou que je ne connais pas. Je vais me la jouer méchant. Na!
 
Je vous oblige à poser un commentaire. Voilà.
 
 
Bon, fini, les blagues, merci d’avance.
=(:)
20
Mar
06

… Retour au Royaume de Kraahn

Il existe, dans le lointain royaume enchanté de Kraahn, un gentil roi bouffon. Il reigne sur un territoire bien sombre, mais il se dit que, ben, c’est comme ça. On choisi pas (souvent) sa famille.
 
Il reigne en général sans encombre. C’est souvent comme ça, un reigne, quand on n’est pas empoisonné après le couronnement ou poignardé le lendemain, il y a en général quelques mois avant la première guerre.
Des guerres, à Kraahn, il en a connu. Il connait deux trois apothicaires qui sont assez doués pour calmer ce genre de choses. Bien sûr, il voit pas ce qu’un apothicaire a à voir là dedans, mais ça marche.
 
Mais là, pas de bol. Un été sans fin. Bien des légendes lui avaient fait part d’hiver sans fin. C’est déroutant. Ca casse les réserves de bois. Les économes regrettent de ne pas avoir stocké assez de couvertures. Et puis c’est pas bon pour le moral. Mais on dort sur ses deux oreilles et 12 clochettes.
 
Un été sans fin, on dort pas. Rigolo au début. Jeux de plages, bikini party au royaume de Kraahn…
Puis vient la guerre.
 
Aux confins du royaume, près des barres de Nuk et jusqu’au front des Garnis, reigne le Mal. Pas très grand, mais très puissant. Généralement il se bat seul. Cette fois ci, il tente une alliance, son coup le plus lâche depuis des siècles. Avec un type qu’il a jamais vu. Un Flammation, qui vit dans les gorges.
 
Le coup réussi. Le flammation passe innapercu. Mais les effets sont terribles. Sous l’été sans fin, les combats font rage. Les apothicaires luttent sans relache. Mais dans l’ombre, le flammation fait reigner des tempêtes de sable ou de neige (la neige lors d’un été sans fin, c’est comme se retrouver en string chez les inuits : peu agréable). Et il maintient sans relache cet saison impie.
 
Le roi bouffon en a passablement raz le bol.
Il trouve un magasin de jouet. Après 3h de vent d’Est à 4°C et un voyage en mini carrosse climatisé sauce été sans fin, il a des sacrées bouffées de chaleur. Les heures et journées de combat acharné lui ont pété le dos. Il désire suffrir en silence. Sur un tobogan en plastique vert de 60cm de haut. Un vertige le prend.
 
Mais c’est un roi bouffon. Et c’est des gens un peu bizarres ceux là. Il explose de rire. Ce rire lui transforme tous ses membres en une espèce de mélasse cicatrisante. Impossible de se relever. Mais il s’en fout, les oreilles lui poussent!!
Les apothicaires se massent, perplexent. Peu l’ont vu dans cet état. Une future stagiaire, éventuellement, mais sa mémoire des petits trucs qui restent gravés subit de très fortes érosions. Ca désorganise un peu le reste des festivités prévues généralement à cette période : le passage dans la région d’éxilés très précieux et le couronnement d’un certain bouffon.
Il tiens pourtant à discuter par oracle portatif (une divinité de poche au fond d’un briquet, avec un korrigan pour la traduction) avec Une lointaine. L’informer. La rassurer. Même si, vu l’état, c’est carrément pas gagné!!
 
La crise du roi concernant sa véritable nature alors que son règne démarre est assez génante. L’été en est encore plus long! Puis vient son retour à un état plus "officiel". On décide de voir un grand prêtre de Kraahn. Il sera surement indulgent, peut être permettra-t-il l’obligatoire voyage dimensionnel entre Le royaume et la zone réelle l’été passé.
 
Ben non.
Le roi doit abdiquer. Et excusez ma royale expression, se démerder à effectuer un transbahutage dimensionnel complexe par ses propres moyens avant le lendemain. Ben le carrosse tunné pour l’occasion connait heureusement le chemin tout seul. Mais c’est moyen.
 
Et le lendemain?
En Kraahn, tout est endormi.
Les sédatifs ont eut miraculeusement un effet inverse.
Il a fallu une heure de fièvre complète pour être dans un état potable au boulot (et emprunter un T-Shirt dans un bureau, bonne chance!).
 
Un journaliste aventureux peut en témoigner : "un zombi vivant se promène sans accompagnement dans un office de HLM…" (suite page 12).
 
Ce soir, rien d’intelligent. Normal, j’ai les cervicaux droits tétanisés et des paillettes bleues devant les yeux!!!
 
=(:)
 
 
 
18
Mar
06

seconde chronique d’un mal de Kraahn

Encore une fois, une journée de folie. ou j’ai payé les conséquences de mes bétises des jours passés.



Mercredi, je me
suis fais embarquer vers la fac de Caen. C’est arrivé comme ça, au
détour de la rue froide. Je me promenais avec environ 20€ de bordeau
dans mon petit sac à dos. Et suite à une courte discussion, jai passé
la moitié de la nuit à discuter, rencontrer, délirer. Etant en léger
décalage (mais pas si faible que ça au final) avec les indigènes de ces
bâtiments scolaires bloqués, j’aurai pu me sentir mal. Au contraire.
Mon attitude de petit bourgeois anarchiste n’a pas fait peur,
interloquait un peu, et permettais donc un approfondissement des sujets
abordés.
Toujours est il que je me suis couché un peu tard.

Jeudi? j’ai participé au déménagement d’un copain sur Pont Audemer. 80
bornes de Caen direction Rouen. Vu qu’il n’a eut les clefs que vers 20h
et que je me suis démarré un début de migraine dans l’après midi, je
n’étais pas forcément très bien au retour.
Il a un sacré appartement le monsieur. Déjà, c’est une région où les
murs sont forcément en colombage. Et lui il est un centre ville. Il y a
une cour intérieure toute mignone, qui débouche même sur un petit
canal. Son appart a un mur en colombage, un joli parquet et une cuisine
américaine super moderne.
Ben moi, faut vraiment que je change d’appart!!

Nuit pas bien. Arrivé à 4h du matin, les sentations sont dédoublées.
Tous les bruits, frolements, odeurs, lumières prennent des dimensions
disproportionnées. Ca aide pas à dormir. Et ca aide pas à faire
disparaitre la migraine de la veuille.

J’ai toujours réussi à cacher mes maux de crane au boulot. Ils
existent, mais je les cache. Ben la, ce fut humainement impossible.
Parce que mon teint était placé entre le blanc immaculé et le vert.
Cette couleur de peau que les jeunes gothiques cherchent désespérément
à atteindre.
Ma journée se résume donc à efferalgan; aspirine, doliprane,
ibuprofène, aspirine et ibuprofène. Avec entre chaque des
grelottements, zombitages, crises de chaud, envies de dodo.

Je pense à un truc. J’étais dans un état équivalent quand un super
pote, Florian, était venu en France (du Japon). Là, je suis à Rennes,
où j’ai vu hier Giom dans des conditions équivalentes.
Si revoir des copains éloignés me créé des crises de migraine, c’est vraiment pas cool!

Tiens, ce matin ça va mieux. Mais je me suis un peu réveillé avec une
(pas fine) pellicule d’eau sur la peau. J’espère que je tiendrai ma
journée…

=(:)
PS : je renouvelle ma demande de dorlottage. C’est le meilleur remède que je connaisse contre le mal de Kraahn

16
Mar
06

Bloqué…

Je suis pour ceux qui ralent, parce qu’ils pensent à leur futur emploi et à leur avenir (sans la précarité d’un CPE, pour une vie bohème)
Je suis pour ceux qui ralent, parce qu’ils pensent à leur futur emploi et à leur avenir (avec un diplome neuf pour une vie prospère)
Je suis pour ceux qui ralent, parce qu’ils pensent à leur futur emploi et à leur avenir (sans être traités de terroristes de banlieux, pour une vie moins grise)
Je suis pour ceux qui ralent, parce qu’ils pensent à leur futur emploi et à leur avenir (par une relèvement sans morts, pour une vie paisible)
 
Et je suis contre tous ceux qui refusent la notion de liberté, par l’application de la violence, du baton et de l’épée.
Qui refusent l’avis des autres, par l’utilisation d’ordres, de violence, ou de tout acte obligeant ou désobligeant.
Qui utilisent la barre à mine ou les barreaux des tribunaux contre des utopistes un peu rêveurs et pour tant tellement pragmatiques.
 
Si tous ceux qui émettent un de mes avis étaient d’accord, et tolérants avec les autres, les 68’s seraient même capable de suivre. Il y aurait une révolution qui dépasse les marches silencieuses, les blocages de faculté, les feux aux voitures et les débats d’idée, et les renconters d’anciens combattants de la liberté.
 
Je ne veux plus être de cette génération sans avenir.
Pensez à nous qui connaissons le sida, vous qui avez connu la guerre.
Pensez à nous qui connaissons les emplois à temps partielle et la fléxibilté, vous qui avez connu les crises.
Pensez à nous qui n’auront pas de vieillesse, vous qui avez eut une drôle de jeunesse.
Pensez à nous qui connaissons le stress dès le début de notre adolescence, vous qui n’aviez que peu le droit aux idées.
 
Honneur, famille, patrie.
Notre honneur est bafoué, notre voix est celle des chiens.
Notre famille n’existera pas, disloquée avant de naître.
Notre patrie n’existe plus. Nous sommes de nul part.
 
Mais nous fêtons cet état de fait, avec Joie, amour et amitié. Rien de religieux. Rien de sacré.
Et nous buvons pour cela, nous veillons, nous crions et nous chantons.
Nous, les jeunes cons des facs de lettre ou de banlieux.
Regroupons nous et crions, mettons le feu dans nos tripes.
 
Pour un avenir qui nous appartiendrait (conditionnel?)
 
=(:)
14
Mar
06

De la simplicité et de l’exhubérance du noir

Comme vous avez peut être remarqué, le noir est ma couleur. Et le rouge un peu aussi (mais c’est moins facilement portable… et aussi un goût plus récent).
 
Le noir, je l’appécie partout.
Partout? Ca va des sous-vêtements au bout des doigts. Mes diverse vestes me semblent tout aussi sombres. Ma nappe, mon bureau, ma théière, mon café, mes assiettes… Pas mal de choses quoi. C’est comme ça le noir. C’est une espèce d’ombre. Ca envellope. Ca habille.
Et moi je trouve ça classe. Passe partout. Et super flashy.
 
Pourquoi aussi flashy?
Habillez vous de la nuit. Au milieu de cette obscurité, posez quelques étoiles, ou bien une jolie lune. Que voit-on? La lune. Rien trouvé de mieux pour qu’on ne voit que le joli badge rouge sur la poitrine. Ou la couette pourpre qui trône sur une chauffeuse noires sous quelques coussins noirs.
Comme le font les peintres du clair obscur : les bougies ne sont jamais aussi belles que dans les plus sombres des étables.
 
Et ce que j’aime aussi dans le noir, c’est quand on ne l’attend pas là.
(Seb, t’as vu, tu l’as quand même eut ton exclu!!)
Le pq qui part le plus vite dans les chiottes communes au bout de mon couloir est mon miens à moi.
 
Et devinez ce qu’il a d’exhubérant?
Arf!!!
 
Allez, je vais fermer mes yeux et dormir… de mes plus beaux rêves…
Textos!!
 
=(:)
 
 
13
Mar
06

Ce soir…

… J’ai faim.
 
Ben ouais. Ca a l’air bête à dire, mais c’est handicapant d’avoir faim. Pas possible de réfléchir, avec ça. Même de… ben d’agir. Et déjà qu’en temps général, agir n’est pas si simple.
Alors écrire…
 
Déso les gens!
 
Mais là mes pensées se résument à :
 
 
   —>  
  +
             +        —>  —>   —>  —>
                                                                      +    
   —>                                             
  +
 
Sur ce, bon app’, moi je vais me chercher un mouton, un pigeon, n’importe quoi…
Arf!!
 
=(:)
PS : mmm… un mouton avec un bon thé menthe…
 
10
Mar
06

Ettt c’est pas fini!!!

…ben non Pas fini cette journée!
 
Pask après le trip à la bodéga, je suis revenu sur les bancs de la fac.
Ou plutôt à l’entrée.
Par terre.
Avec tout pleins de gens, certains que j’ai rencontré comme des fois au détour du joyau de mon appart (à côté plutôt), et d’autre que je n’ai jaaamais vus.
 
Pour le CPE.
Pas besoin de vous faire le topo. Je dirai que c’était plutôt catégorie "cours désorganisés" que "fac bloquée" d’après les critères gouvernementaux. Un jeudi soir en france quoi. Ca faisait longtemps.
Au son du Djumbé, du saxo et de la contrebasse, des gens de tous ages (mais surtout étudiants) militent (mais surtout sont là, avec de quoi tenir la nuit).
Très bonne ambiance.
 
Et après…
Ben il y a de quoi être claqué.
Je résumerai en disant que je me suis fait réveillé par un petit chat. On a joué un bon moment.
Et après, lors du petit dèj, le petit lapin noir (ben ouais, il grogne tout le temps) s’est retrouvé coursé, chamaillé, tripatouillé par le petit chat. Toute la durée du petit dèj!!
 
(soupir)
C’était un un autre lapin, un vrai, ainsi qu’un vrai Ti  chat. Mais bon… Présage?
10
Mar
06

Article de physique quantique

Lors d’une soirée étudiante ayant pour but la désinhibition de jeunes, un individu interloqua UnAutreLapin.
Il lui fit part d’une interrogation quand à la nature du liquide contenu dans le récipient qu’il a utilisé précédemment. Cette question permis à ces deux individus de répondre à la question zen : "qu’y avait- il dans ton verre?" "Rien, je n’ai rien bu".
Après ces courtes pensées philosophiques et dadaistes, un instant de réflexion permis de savoir qu’il parlait du plateau utilisé par mes les compères de tablée du mammifère à z’oreilles. Diaboliks. Les boissons, pas les compères. La question peut donc, pour plus de facilité, être tournée sous la forme : "Quoi t’est ce qu’y a dans les ptits machins qui brulent?".
 
Ce phénomène est le résultat d’une étude très sérieuse menée il y a quelques années par une équipe de recherche en physique fondamentale à la faculté de Rennes. Le résultat de leurs diverses expériences est désormais visible au "Bodéga". Il a fait l’objet de parution dans des magazines de vulgarisation Normands, suisses, grèques, et Gatémaltèques en 1945.
Un produit organique, dont la composition chimique est basée sur 50litres de vin blanc, du sirop de cassis et du miel pour la couleur peut tenir un état de combustion et être avalé en une gorgée dans certaines conditions environnementales bien particulières.
Les instruments utilisés sont : une bouteille contenant la mixture en quantité suffisante, c’est à dire (nous vous le rapppelons) 50litres de vin blanc, du sirop de cassis et du miel pour la couleur, ainsi qu’une baignoire, un plateau en bois exotique, de minuscules verres à fond épais, et une paille en plastique ne voulant pas plier mais réagissant par une érection au contact des lèvres d’une vraie blonde.
 
L’étude a démontré qu’au contact de la paille, l’ensemble formé par le verre et le plateau permet la création d’un trou de ver. La paille permet le contrôle de l’ouverture de celui-ci, et ainsi la maîtrise d’un vortex de taille convenable, appelé désormais trou de verre
Lors de leur période à l’ancien laboratoire international de la Bodega, l’équipe de recherche a réussi à installer une baignoire à l’autre extrémité du trou de verre ainsi formé.
Il est alors possible de déverser 50l de liquide dans un verre de la taille d’un dé à coudre, par l’intermédiaire d’une classique baignoire sabot et d’une paille lubrique.
 
Deux conséquences de cette expérience ont été toutefois observés.
Tout d’abord l’effet exothermique d’un tel phénomène. Il est alors possible d’enflammer 50l de liquide d’un relativement faible degré d’alcool.
Ensuite la possibilité d’aspirer en une gorgée par la paille tout le liquide contenu dans la dimension se trouvant au delà du plateau, qui nous vous rappellons, de l’ordre du volume d’une baignoire sabot de taille convenable.
 
La réalisation de cette expérience en différents laboratoires a pu prouver une chose :
un Diabolik, peu de gens savent ce que c’est, mais ça arrache!!
=(:)



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